“Ça serait trop bien que tu puisses marcher grâce à un exosquelette, non ?”
C’est la question que m’a posée Walid.
Une porte d’entrée dans un sujet sur lequel on ne sera pas tous d’accord : le technosolutionnisme, ce réflexe de croire que la technologie va « réparer » le handicap.
Qui décide de ce qui est innovant ? Qui en profite vraiment ?